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Le Paris argentique d’Aglaé de Mourges (part 1)

Aglaé commence par aiguiser son œil, motivée par ses premiers appareils photos jetables, sa grande curiosité et son obsession de tout comprendre. ​De musées en galeries, de sites archéologiques en foires d’art contemporain, de voyages en voyages, elle découvre le Monde, l’Histoire, et l’Homme à travers l’Art.

La carrière d’artiste visuelle s’impose donc tout naturellement à elle. D’abord étudiante en graphisme à Lyon, c’est seulement en 2009 qu’elle vient à Paris, et passe deux ans au Centre Iris afin d’acquérir les techniques liées à la photographie argentique. Pour elle, cet héritage est précieux car rien ne vaut la magie du révélateur.

Aglaé s’émerveille de son environnement quotidien et nous invite à le partager. L’œil contemple et l’objectif saisi l’esthétique urbaine dans ses incongruités, ses personnages haut en couleurs et ses sites incontournables. Notre œil est tantôt flatté par la frontalité grandiose des monuments sous leurs angles les plus photogéniques, tantôt par une ville intime, plus détaillée et mystérieuse. Ces images nous font passer d’une sensation de grand tour touristique à une escapade d’école buissonnière à travers les ruelles. Les détails choisis sont évocateurs, nous pénètrent de l’atmosphère dans laquelle baigne les villes qu’elle nous montre.Ce sont des photographies pour les touristes envoutés, les exilés nostalgiques, les amoureux de leur villes, et les esthètes exigeants.

Je vous invite à consulter son site http://www.aglaedemourgues.com et sa page Facebook 

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2 réponses

  1. carlos enrique acosta
    | Répondre

    estoy muy fascinado con paris,sueño volver y poder pintar alla,cuna de la cultura universal…

  2. […] Voici une nouvelle série de photos argentique d’Aglaé de Mourges. La première partie est disponible ici […]

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